Après avoir passé plus de 2h00 à l'aéroport de Katmandou pour régler un problème de bagage endommagé (merci Qatar Airways !!!) nous faisons connaissance avec les embouteillages de la ville. La pollution est telle que nous ne pouvons apercevoir les montagnes qui entourent la capitale ! La saison sèche engendre un air poussiéreux augmenté par tous les monticules de gravas du tremblement de terre d'avril 2015. Notre premier achat sera, après la bouteille d'eau, un masque pour pouvoir respirer en arpentant la ville...